ABOUT
Née à Paris en 1988, la violoncelliste franco-belge s’est formée en France puis en Allemagne : auprès de Marcel Bardon à Paris, puis de Stephan Forck, Frans Helmerson et Wolfgang-Emanuel Schmidt à Berlin, Cologne et Weimar. Avant même d’achever sa formation musicale, elle débute dans des salles prestigieuses et elle est immédiatement invitée à revenir. La maturité de son art lui permet de briller également à plusieurs concours. Elle fait sa percée internationale en février 2014, lorsqu’elle est sélectionnée dans la catégorie « Révélation soliste instrumental » aux 21e Victoires de la Musique. Huit mois plus tard, elle est New Talent of the Year au Concours de l’Union européenne de radio-télévision. Elle est ensuite choisie comme « Jeune soliste de l’année 2016 » à la soirée C’est du Belge, organisée conjointement par la RTBF et Paris Match, et en janvier 2018 elle figure sur la prestigieuse liste de Forbes « 30 under 30 ».
En 2016, elle sort son deuxième album, « Réminiscences », paru chez la Dolce Volta et récompensé notamment d’un CHOC de Classica et d’un ECHO KLASSIK. En 2017, elle signe un contrat international d’artiste exclusif chez Deutsche Grammophon, devenant la première femme violoncelliste à signer pour la prestigieuse maison de disques. Voice of Hope, son deuxième disque DG avec le Brussels Philharmonic et les chefs Mathieu Herzog et Stéphane Denève est paru en juin 2020. C’est le premier disque de musique classique enregistré en partenariat avec l’UNICEF, reflet de l’engagement social de la violoncelliste.
Camille est régulièrement invitée des plus grandes salles et a collabore régulièrement avec des chefs tels que Mikko Franck, Paavo Jarvi, Kent Nagano, Stéphane Denève, Alondra de la Parra, Jun Märkl, Fabien Gabel, Otto Tausk, Duncan Ward et des orchestres comme la Kammerphilharmonie Bremen, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, la Camerata Salzburg, l’Accademia Santa Cecilia, le Brussels Philharmonic...
Camille Thomas joue le légendaire Feuermann Stradivarius de 1730 généreusement mis à sa disposition par la Nippon Music Foundation et un archet Eugène Sartory acquis pour elle par la Fondation Roi Baudoin.